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Situation nationale : « La priorité doit être à la vérité, justice et à l’amélioration des conditions de vie du peuple », selon la CCVC

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Les responsables de la Coalition contre la vie chère (CCVC) ont animé ce mardi 13 octobre 2015, leur première conférence de presse post-coup d’Etat. Occasion pour Chrysogone Zougmoré, Bassolma Bazié et les autres responsables de la CCVC de donner leur lecture du putsch du 16 septembre et de réaffirmer leur position par rapport à la gestion de la transition.

Chrysogone Zougmoré, 1er vice- président de la CCVC

Pour les responsables de la Coalition contre la vie chère (CCVC), animateurs d’une conférence de presse ce mardi 13 octobre 2015 à Ouagadougou, le coup d’Etat militaire du 17 septembre est le prolongement de celui déjà opéré par le même régiment le 1er novembre 2014 avec le soutien de « certaines organisations de la société civiles putschistes et de certains partis politiques ».
« Déjà le 2 novembre 2014, la CCVC tirait sur la sonnette d’alarme en condamnant le putsch et en réitérant l’impérieuse exigence de la dissolution du RSP, conformément à la revendication portée par notre peuple, depuis mai 1999 notamment, lorsque la Commission d’enquête indépendante avait mis en lumière le rôle macabre de cette unité de triste renom dans l’assassinat du journaliste Norbert Zongo. Hélas ! Cette alarme n’a pas reçu d’échos favorable de la part des autorités de la transition », rappelle Chrysogone Zougmoré, 1er vice- président de la CCVC.
Et de poursuivre :
« Pire, tout au long de leur gestion du pouvoir, celles-ci se sont illustrées dans la criminalisation et la répression des luttes populaires. La mobilisation et la résistance déterminée contre le putsch du 16 septembre 2015 devraient ainsi servir de leçon, aussi bien aux autorités de la transition, qu’à toutes celles à venir quant à la nécessité d’apporter une réponse conséquente aux préoccupations des populations. Cette mobilisation et cette résistance de millions de Burkinabè, est à inscrire en effet au nombre de ces luttes populaires et plus précisément dans le cadre de la lutte résolue de notre peuple contre le putschisme, pour les libertés politiques, le progrès social véritable et pour l’indépendance nationale ».

Vérité et justice

Pour les responsables de la CCVC, la lutte doit davantage être organisée et se poursuivre contre la restauration de l’ancien régime et tous les fauteurs de guerre civile réactionnaire et contre l’impunité.
« Ainsi, en rapport avec la situation sociopolitique actuelle dans le pays, la Coalition contre la vie chère n’acceptera pas qu’au détour d’enquêtes où d’investigation bâclées, des tortionnaires et commanditaires de crimes passent par les mailles du filet de la justice en viennent à narguer le peuple en osant prétendre à des postes, à la faveur des prochaines élections ».

Aussi, la CCVC, en lien avec cette plateforme revendicative, exige les mesures suivantes :
- Vérité et justice pour les martyrs d’octobre 2014 et ceux de septembre 2015 ;- Instruction sérieuse du dossier Norbert Zongo et de ses compagnons ;- Vérité et justice pour Dabo Boukari, disparu dans les locaux de l’ex-Régiment de Sécurité Présidentiel (RSP), alors installé au sein du Conseil de l’entente ;
- Vérité et justice pour Thomas Sankara, Flavien Nébié, Salifou Nébié, Oumarou Clément Ouédraogo ; Blaise Sidiani et Emile Zigani et toutes autres victimes de crimes de sang impunis ;
- Identification et saisie des biens et fonds détournés par les dignitaires du régime de Blaise Compaoré et prise sans délais de mesures nécessaires, en vue de recouvrer l’ensemble des fonds expatriés ;
- Jugement et sanctions de tous les commanditaires et auteurs de crimes de sang et de crimes économiques, qui doivent être frappés d’indignité politique et électorale.
Bref, pour les conférenciers, « la priorité doit être d’abord à la vérité, justice et à l’amélioration des conditions de vie des Burkinabè ». Sur la question de la justice, le 1er vice-président de la CCVC s’interroge sur l’efficacité de la mise en place d’une commission d’enquête pour faire la lumière sur le putsch. Chrysogone Zougmoré avoue que la CCVC n’est pas en phase avec la transition sur la gestion des crimes économiques et de sang.

Traque aux auteurs et complices du putsch manqué

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Le président de la Commission d’enquête, magistrat et avocat à la cours de cassation, Simplice Poda

Le lundi 12 octobre 2015, à Ouagadougou, le Premier ministre, Yacouba Isaac Zida a procédé à l’installation des 8 membres de la Commission d’enquête du coup d’Etat manqué de l’Ex. Régiment de sécurité présidentielle (RSP). Ils auront la lourde mission de travailler à situer les responsabilités et à identifier les auteurs, complices militaires et civils impliqués dans cet événement.

A la suite du rétablissement des institutions de la transition après le coup d’Etat perpétré par l’ex-Régiment de sécurité présidentielle, il a été décidé de la création d’une commission d’enquête, Composée de magistrats et de militaires, pour faire toute la lumière sur celui-ci. Cette commission d’enquête dispose d’un mois pour déposer son rapport sur les différentes implications du putsch manqué du 16 septembre 2015.

« 30 jours. On mesure l’ampleur de la tâche et nous espérons pouvoir finir notre travail dans les délais », a déclaré le président de la Commission d’enquête, magistrat et avocat à la cours de cassation, Simplice Poda. Dores et déjà, les huit membres qui composent la Commission, avant leur installation officielle, des dires de M. Poda, disposait de rapports sur lesquels ils travaillent. Ainsi, 3 équipes ont été formées au sein du groupe pour alléger le déroulement des travaux.

De même qu’il a adressé ses remerciements à Yacouba Isaac Zida pour avoir accepté réaménager le décret relatif à la création de cette Commission d’enquête afin de lui permettre de disposer de plus de pouvoir de l’autre, il a aussi lancé un appel, surtout à l’endroit des personnes qui ont été victimes de coups et blessures, « de prendre attache avec la Commission pour témoigner en faveur de la vérité ».

Le Premier ministre, quant à lui, n’a pas manqué d’insister sur les résultats : « Le gouvernement ainsi que le peuple entier attendent de vos travaux des indications claires sur les différentes implications des uns et des autres dans le putsch manqué du 16 septembre dernier ». Avant de leur rassurer que tout est mis en œuvre pour qu’ils aient un minimum de moyens financiers leur permettant de mener à bien leur mission.

 Composition de la Commission
Président : Gneblessier Simplice Poda
Vice-président : Le Lt-Colonel Farta Bachirou
Membres :
Lieutenant-colonel Djiguiba Sam
Lieutenant Ferdinand Yaméogo
Commissaire Vinsou Sanou
Maître Daniel Wangrawa
Adjudant-chef major Mamadou Karambiri
Lieutenant Sombié Siaka Diarra.

‘’Quartier général’’ de la Commission de réconciliation nationale et des réformes (CRNR) : le Premier ministre Zida en visite de courtoisie

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Le chef du gouvernement, Yacouba Isaac Zida a rendu une visite de courtoisie à la Commission de réconciliation nationale et des réformes (CRNR) en séance plénière. C’était dans la matinée du lundi 8 juin 2015 dans les locaux du Conseil économique et social (CES) où il a pris l’engagement de travailler avec le président de ladite Commission à surmonter les difficultés qui s’affichent.

Installée il y a déjà trois mois, la Commission de réconciliation nationale et des réformes (CRNR) abat depuis lors, foi du Premier ministre, « un travail formidable ». Et ce, grâce à l’engagement et au dynamisme de ses membres. Il était donc, a-t-il ajouté, « tout à fait indiqué que nous venions ce matin les féliciter, les encourager, leur dire comment le gouvernement et l’ensemble du peuple burkinabè ont de fortes attentes par rapport à leur rapport ». Un rapport qui doit être déposé en août prochain.
Mais des difficultés existent et freinent le rythme de travail au sein des cinq sous-commissions. Ces difficultés sont d’ordre matériel, mais aussi d’ordre organisationnel en ce que les personnes qui doivent être rencontrées, ne sont pas toujours disponibles. Toutefois, le Premier ministre Yacouba Zida confie avoir pris l’engagement de travailler avec le président de la commission à surmonter ces difficultés pour que ledit rapport puisse être déposé dans le délai imparti. Ce qui permettra, présage M. Zida, au peuple burkinabè de disposer d’outils nécessaires pour la « réconciliation véritable ».

Déjà, les sous-commissions qui ont travaillé selon une méthode consultative en écoutant diverses composantes de la société burkinabè, disposent de « beaucoup de renseignements, de beaucoup de données qui sont remontées des différentes régions du Burkina ». C’est du moins, ce qu’a confié le président de la commission, Mgr Paul Ouédraogo, avec la précision que la plénière du jour « va se mettre à l’écoute de ces sous-commissions ». A l’en croire, ces sous-commissions ont fait la synthèse des informations et données qu’elles ont recueillies. Et c’est au regard de ce qu’elles ont retenu comme données importantes pour la réconciliation, que la commission va élaborer des recommandations à consigner dans le rapport final.
Signalons que la CRNR a été créée auprès du Premier ministère par la Charte de la Transition en son article 17 avec pour mission « de restaurer et de renforcer la cohésion sociale et l’unité nationale. »

Une pluviométrie normale avec une tendance excédentaire en 2015

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Selon les résultats d’une recherche sur les prévisions saisonnières et caractéristiques agro-climatiques de la saison de pluies 2015 présentés par la Direction Générale de la Météorologie, le Burkina Faso pourrait connaître une pluviométrie normale avec une tendance excédentaire sur l’ensemble du territoire pour les périodes de juin-juillet-août et juillet-août-septembre.

L’étude réalisée sur plus de deux décennies par des scientifiques du monde entier, révèle que pour les dates de début de la saison des pluies, deux situations sont prévues :

  • Une installation précoce à tendance normale de la saison des pluies dans les régions de la Boucle du Mouhoun et du Nord, l’Ouest des régions du Sahel, du Centre-Nord, du Plateau Central, du Centre ainsi que la moitié Nord de la région du Centre-Ouest et dans une moindre mesure l’extrême nord des Hauts-Bassins. Sur la base de la climatologie des dates de début de la saison des pluies, il est fort probable que la saison des pluies débute avant le 5 juin. Mais certaines localités pourraient attendre jusqu’au 15 juin avant de voir la saison pluvieuse s’installer.
  • Une installation tardive à normale dans les régions des Cascades, du Sud-Ouest, des Hauts-Bassins, de l’Est, du Centre-Est, de même que la moitié Est des régions du Sahel, du Plateau Central, du Centre-Nord et de la moitié Sud de la région du Centre-Ouest. Dans ces localités, il y a de fortes chances que la saison des pluies s’installe après le 15 mai.

Une fin tardive à normale est prévue pour l’ensemble du pays qui pourrait aller de la deuxième décade de septembre à la première décade d’octobre.

 Ministère des Infrastructures, du désenclavement et des transports

Pour une intégration de l’emploi dans le budget national

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Le ministère de la Jeunesse, de la formation professionnelle et de l’Emploi a organisé  le 21 mai 2015 à Ouagadougou un atelier de réflexion sur le thème : « l’intégration de l’emploi dans le budget national et de la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD) ».

Cette session avait pour finalité de repérer des solutions appropriées et durables à la problématique du chômage et du sous-emploi.

Deux pays pilotes que sont le Burkina Faso et la Zambie ont été identifiés par le Bureau international du travail (BIT) pour la mise en place de la budgétisation sensible à l’emploi.

L’impératif de la prise en compte des questions d’emplois dans les stratégies nationales de développement économique et social a abouti à l’adoption, par le gouvernement, en 2008, d’une politique nationale de l’emploi (PNE) et de son plan d’actions opérationnel. Ceci a permis d’enregistrer des progrès considérables en termes d’amélioration des opportunités d’emplois à travers la mise en œuvre de projets et programmes spécifiques dans les domaines du renforcement du capital humain, de la promotion de l’auto-emploi et de l’amélioration du fonctionnement du marché du travail.

Le gouvernement burkinabè, dans ses grandes orientations en matière de développement, a toujours placé la question de l’emploi au titre des priorités nationales. Il se réjouit de la tenue de cet atelier qui permettra de résoudre  la problématique de la  budgétisation de  l’emploi dans notre pays.

Le gouvernement de la transition félicite le BIT qui appuie le Burkina Faso dans la lutte contre le chômage et le sous emploi.

Le Service d’information du gouvernement

Lutte contre la grippe aviaire : le Burkina Faso reconnaissant à la République de Chine Taïwan

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Depuis l’annonce de la présence du virus de l’influenza Aviaire dans notre pays, les Partenaires techniques et financiers ont manifesté leur solidarité dans la lutte contre cette épidémie.

Dans le cadre de la mise en œuvre du plan de riposte et de prévention dont le Budget global consolidé, est estimé à cinq milliards trois cent soixante-douze millions trois cent soixante-dix-huit mille cinq cent quatre-vingt-dix(5 372 378 590) francs CFA, plusieurs PTF ont annoncé et confirmé leurs soutiens financiers.

Ainsi, le lundi 18 Mai 2015, la République de Chine Taïwan, à travers son Ambassadeur, a remisau Ministre des Ressources animalesun chèque de soixante-douze millions (72 000 000) de Francs CFA.

Le gouvernement reconnaît à sa juste valeur cette importantecontribution qui vient traduire une fois de plusles liensd’amitié et de solidarité entre le la République de Chine Taiwan et le Burkina Faso.

Il réitère ses remerciements à l’ensemble des PTF pour leur engagement permanent à accompagner le Burkina Faso dans ses actions de développement.

Service d’Information du gouvernement