Free Porn





manotobet

takbet
betcart




betboro

megapari
mahbet
betforward


1xbet
teen sex
porn
djav
best porn 2025
porn 2026
brunette banged
Ankara Escort
1xbet
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com

1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com

1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
1xbet-1xir.com
betforward
betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co

betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co

betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co
betforward.com.co
deneme bonusu veren bahis siteleri
deneme bonusu
casino slot siteleri/a>
Deneme bonusu veren siteler
Deneme bonusu veren siteler
Deneme bonusu veren siteler
Deneme bonusu veren siteler
Cialis
Cialis Fiyat
deneme bonusu
padişahbet
padişahbet
padişahbet
deneme bonusu 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet وان ایکس بت 1xbet 1xbet untertitelporno porno
Accueil Le blog Page 183

Compte rendu du conseil des ministres du 03 mai 2023

0

SNC 2023 : allons à la découverte des trésors humains vivants du Burkina

0

À l’occasion de la SNC, un portail a été ouvert aux Trésors humains vivants (THV) du Burkina, à travers une exposition iconographique à la Maison de la Culture de Bobo-Dioulasso.

Les Trésors humains vivants sont des personnes qui possèdent à un haut niveau les connaissances et les savoir-faire nécessaires pour interpréter ou recréer des éléments spécifiques du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Elles sont désignées par leur pays et reconnues par l’UNESCO.

Ainsi, un THV est une personne détentrice de savoirs ou de savoir-faire, experte dans son domaine, et travaillant surtout à les léguer aux jeunes générations pour les pérenniser. Les anciens sont détenteurs de ces savoirs. Il est donc invité aux jeunes d’aller vers les anciens pour la transmission de cet héritage.

Pour rappel, la première édition des Trésors humains vivants (THV) a eu lieu le 23 décembre 2015 à Ouagadougou. Dix-sept lauréats ont été élevés au rang de patrimoine immatériel du Burkina Faso.

✍️Daniel Ouédraogo

La culture de la région des Hauts-Bassins en un clic, c’est désormais possible.

0

Sur la plateforme www.cultures.hautsbassins.bf, la région des Hauts-Bassins met en lumière ses potentialités culturelles et artistiques ainsi que les acteurs qui travaillent à porter haut sa diversité culturelle. Le portail informe sur les évènements culturels, les sites touristiques de la région. On y découvre les « Routes des tissus, des masques ou du balafon ». La création de ce site web a bénéficié du soutien du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la culture.

✍️Marie Laurentine Bayala

SNC 2023: Konomba Traoré met en lumière les valeurs des Dozos pour la cohésion sociale

0

Konomba Traoré, trésor humain vivant, a animé ce mardi 02 mai 2023, un panel sur « La culture Burkinabè entre tradition et modernité : savoir et savoir-faire des Dozos au service du bien-être et de la cohésion sociale ». Communication axée sur l’univers mystique des dozos et sa structuration.

Pour le paneliste, « les ancêtres sont nos prophètes. Dozoa, magie, savoirs occultes et médecine traditionnelle riment ensemble ». Aussi, des valeurs régissent la confrérie des dozos, ferment de la cohésion sociale : Les dozos se sacrifient pour les autres, le respect de l’autorité, le sens du bien commun, le respect des règles de l’endroit, chacun des dozos connaît sa place (respect mutuel entre les dozos).

Pour son fonctionnement et sa structuration, le dozoa s’est doté d’une charte : le patriotisme aigu, l’union sacrée, l’entraide et la solidarité, l’humilité, le droit d’aînesse dans l’initiation, la protection de la veuve et de l’orphelin… Selon lui, le dozo n’est pas arrogant et n’est d’aucune religion. La femme peut faire partie de la confrérie si un père dozos n’ayant pas de garçon veut perpétuer le dozoa.

Pour ce qui est de la cohésion sociale, Konomba Traoré soutient que la parenté à plaisanterie devrait être enseignée dans nos écoles. Il a ajouté que l’intolérance est pour la plupart générée par les ethnies majoritaires parce qu’elles ont tendance à toujours utiliser le fait du nombre. Et si on ne prend garde, ce qui est arrivé chez les autres fera une virée chez nous.

✍️Daniel Ouédraogo

Arts plastiques : les frères Ouattara, ces « copieurs » de masques qui « interrogent la place de l’intégrité dans la vie du burkinabè d’aujourd’hui »

0

En marge de la Semaine Nationale de la Culture, les frères jumeaux Assane et Ousséni Ouattara exposent une soixantaine de masques et statues pour questionner l’intégrité tant prônée au Burkina Faso. Ils totalisent 25 ans de création aux cours desquels ils ont été en 2003, les premiers burkinabè programmés au festival mondial des théâtres, des masques et de la marionnette en France.

Quand l’un commence une phrase ou une idée, l’autre la termine tellement ils font un, pour promouvoir leur vision de l’art. Ils sont si heureux de faire partie de la programmation officielle de la Semaine Nationale de la Culture.
En effet, c’est la première fois que le comité d’organisation de la SNC les insère dans le catalogue, car à chaque édition de ce rendez-vous culturel, ils organisent une exposition.

Cette fois-ci, ils convoquent une soixantaine d’œuvres pour parler de « Probité ». Un prétexte tout trouvé par ces « copieurs » de masques pour questionner la place de l’intégrité dans la vie du burkinabè d’aujourd’hui. « A travers cette exposition, nous expliquons d’où vient l’intégrité et où nous en sommes avec sa pratique.

C’est un débat ouvert à ceux qui nous visitent. Dans la religion traditionnelle quand on meurt, on te fait revivre par une œuvre à ton effigie qui va te « présentifier ». Mais pour bénéficier d’une statuette, il faut avoir mener une vie accomplie. Il faut qu’on ait été intègre durant sa vie. C’est pourquoi après la mort, on t’ancestralise à travers une statue. De nos jours, c’est comme si nous sommes en train de perdre notre intégrité. Nous devons mettre nos pas sur ceux de nos ancêtres en commençant par le respect, car le respect engendre l’amour qui va ensuite nous conduire à la paix. » précisent-ils.

Les frères Ouattara se définissent comme des experts en maques africains en plus d’être artistes plasticiens et sculpteurs. Ils ont mené des recherches liées aux masques et statues ou tout autre objet animé par la voix, le geste ou la lumière. Ils ont opté de copier les vrais masques pour qu’ils restent dans leur environnement. « Ce sont des « facs » simulés, ça veut dire des copies de masques qui n’ont aucune valeur sacrée. Si vous voulez, elles ne sont pas investies de leur pouvoir magique. Nous faisons les copies pour que les vraies restent dans leur environnement, en vue de promouvoir et de revaloriser la culture burkinabè. Nous sommes connus dans le monde entier pour ce travail de copieur de masques.

Nos 25 ans de faiseurs de copie nous a amenés à quelque chose que nous appelons la création contemporaine puisque nous sommes des artistes plasticiens après tout. Nous faisons nos masques personnels de telle sorte à créer nos propres symboles tout en nous inspirant de la sculpture traditionnelle » ajoutent-ils.
Les jumeaux Ouattara utilisent la polychromie ou art de la patine pour vieillir certaines de leurs œuvres. C’est une autre forme d’art qu’ils font, disent-ils. L’exposition « Probité » restera visible tout au long de la SNC, pour « exorciser » la peur que nourrissent beaucoup de personnes vis-à-vis des masques.

✍️Marie laurentine Bayala

SNC 2023 : Mariamé Ouattara s’interroge sur le rôle de la femme dans l’éducation de la jeunesse et la promotion des valeurs de référence

0

Mariamé Ouattara, experte en genre et développement, a animé un panel, à l’occasion la semaine nationale de la culture (SNC 2023), sur le « rôle de la femme dans l’éducation de la jeunesse et la promotion des valeurs de références »

Pour elle, l’homme est doit porter en lui, à la fois des valeurs personnelles et sociétales lui permettant être utile à lui-même et à la société toute entière. C’est pourquoi elle place l’éducation pour tous, comme une priorité pour l’homme au cours du panel qu’elle a animé ce matin.

Pour la spécialiste en genre et développement, pour assurer une meilleure éducation, il faut mettre en place les moyens nécessaires à la formation si l’on veut assurer le développement d’un être humain. Il existe des leviers parmi lesquels, on pourrait citer le rôle central que joue la femme dans l’éducation.

Pour elle, « Les femmes jouent un rôle déterminant dans l’éducation des jeunes, car elles détiennent l’art de former les enfants en développant chez eux des qualités intellectuelles et morales »
Pour que la jeunesse incarne les valeurs personnelles et sociétales, il est donc essentiel que la jeunesse suive et mette en pratique les enseignements, conseils et codes fournis par les femmes qui sont en charge de leur éducation.

De nos jours, avec l’impact de la mondialisation et des réseaux sociaux, la situation est-elle favorable aux femmes pour faciliter l’accomplissement d’une éducation correcte de la jeunesse ? Selon Mariamé Ouattara, de nombreux défis assaillent les femmes de toutes parts et compliquent sérieusement leur rôle. C’est pourquoi dira-t-elle, la responsabilité d’inculquer de bonnes références à un enfant doit être partagée par les deux parents.

En ce qui concerne la promotion des valeurs par les femmes, Mariamé Ouattara fait référence à la Charte des valeurs de la transition de 2022. Ces valeurs ont été classées en deux grandes catégories : 19 valeurs individuelles et 13 valeurs sociétales. Nous avons, entre autres, l’honnêteté, l’honneur, le patriotisme, l’intégrité, l’humilité, l’amour du travail, le civisme, l’altruisme, la loyauté, le respect de l’autorité, l’hospitalité, la solidarité, le respect des aînés, la redevabilité, la culture de la paix et la tolérance. Pour Mariamé Ouattara, ces valeurs doivent être sauvegardées, promues et transmises de manière adéquate de génération en génération pour garantir une société de qualité.

✍️Daniel ouédraogo

Ouaga Fashion week : une 4e édition empreinte d’une dose de résilience

0

Débutée le 1er mai 2023, la 4e édition de Ouaga Fashion Week se poursuit jusqu’ au 07 mai 2023 à Ouagadougou, sous le thème : « Culture, outils de résilience ». L’annonce officielle a été faite ce jour au cours d’un point de presse.

Plus de 2000 personnes sont attendues à ce rendez-vous qui se veut un cadre de valorisation du textile et des créateurs africains, a annoncé le président du comité d’organisation, W. Alex Zabsonré. Après le franc succès remporté lors de la 3e édition, M. Zabsonré a expliqué que l’équipe d’ALAMOD GROUP place la barre plus haut et innove pour cette nouvelle édition.

Et entre autres innovations pour cette édition, ALAMOD GROUP prévoit d’intégrer un programme de « Masterclass PRO » dédié aux professionnels et apprenants dans le domaine de la mode.

En plus du défilé, à en croire son directeur, Alex W. Zabsonré, la particularité de cette édition est qu’ il y aura non seulement le lancement de la Ouaga Fashion business center, mais aussi une collecte de fonds pour soutenir les personnes frappées par la crise sécuritaire.

Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

Arts plastiques : Issouf Diero, le sculpteur bobolais qui continue d’étendre ses tentacules.

0

Arts plastiques : Issouf Diero, le sculpteur bobolais qui continue d’étendre ses tentacules.

C’est dans le quartier Colma de la ville de Bobo-Dioulasso, qu’Issouf Diero a installé son quartier général. Dans la cour familiale, où trônent de géants manguiers sous lesquels cancanent des canards et glougloutent des dindons, Issouf Diero se dirige vers ce qu’il appelle affectueusement « le laboratoire ». Ici, des bidons sont transformés en masques ou en sculpture. Il n’y pas que des objets sculptés dans ce lieu qu’il dédie à sa création. Issouf est aussi peintre, d’où ces tableaux accrochés de part et d’autre et qui attirent l’attention du visiteur. L’artiste est un champion de la récupération. Il a surtout jeté son dévolu sur le pneu usé.

« Je créé à 90% avec des objets récupérés. J’ai hérité ce savoir de mon père qui fabriquait des sandales en pneu en Côte d’Ivoire. J’ai grandi dans cette atmosphère qui m’a aidée dans ma quête créative et dans la consolidation de mon identité culturelle. Je suis dafing et on reconnaît aux dafing leur capacité à transformer le pneu ou à le coller que ce soit en Côte d’Ivoire, au Ghana ou au Burkina. C’est pourquoi je m’en inspire énormément pour créer mes œuvres. Le pneu vient de la France quand on finit de l’utiliser. Il traverse ensuite la mer et débarque chez nous. A mon tour, je continue de raconter à ma manière l’’histoire de ce pneu voyageur » confie-t-il.
Depuis ce samedi 29 avril, la ville de Bobo-Dioulasso vit au rythme de la Semaine Nationale de la Culture et Issouf Diero n’organise pas d’exposition à cette occasion. Cette année, il se contente de décorer le stand d’une entreprise de fabrication de pneus et il va pendant la SNC partager sa passion pour la transformation du pneu au sein de ce stand-là.

En fin stratège, Issouf Diero sait s’adapter aux besoins de ses potentiels clients. En Afrique, il fabrique des œuvres qui lui permettent de survivre. « Je vends des pièces qui me permettent d’acheter du carburant et de payer mes factures. Ce qui m’aide à gagner ma vie en tant qu’artiste d’ici. Et quand je voyage, je vise les besoins des clients de l’extérieur. Les œuvres d’art qui marchent ici ne marchent pas forcément là-bas et vis-versa » précise Issouf Diero.
En ce moment, sa lampe luminaire fabriquée avec des fils de fer extraits des bordures de pneus, a le vent en poupe. En un mois, il a conçu 35 lampes, avec des commandes à l’extérieur. « Avec les bordures du pneu, je créé des formes qui vont devenir des lampes. En 4 semaines, j’en ai fabriqué au minimum 35 avec des commandes en France. J’ai actuellement mal au doigt à force de tordre le fer. Mais c’est mon travail et je ne me plains pas. » souligne-t-il en souriant.
Très actif sur les réseaux sociaux, Issouf Diero continue de polir son art pour un jour s’imposer dans sa ville et à l’international. Il va bientôt séjourner en France, en Allemagne et dans deux pays africains, toujours pour mieux faire connaitre ses créations.

✍️Marie Laurentine Bayala

Foire artisanale et commerciale de la SNC : des exposants espèrent faire de bonnes affaires

0

Foire artisanale et commerciale de la SNC : des exposants espèrent faire de bonnes affaires

En attendant l’ouverture officielle de la foire qui se tient à chaque édition de la Semaine Nationale de la Culture, des exposants s’affairent. Quand certains continuent de déballer leurs produits, d’autres s’arrachent leurs premiers clients avec l’espoir de se faire des sous. Quelques exposants livrent ici leurs attentes
Estelle Compaoré/Zouré, cosméticienne

Je vends des produits médicaux et cosmétiques à base d’huile de carapa procera qui est un véritable remède pour le corps humain. Cette huile soigne le rhume, les sinusites, les otites, les hémorroïdes, les ulcères. Dans le domaine cosmétique, je fais des savons à base d’huile de carapa, très efficace contre les dermatoses. Mes savons embellissent également la peau et la rajeunissent. Je fais du shampoing, des démêlants, efficaces contre les cheveux secs et cassants. J’ai conçu un anti-moustique à base d’huile de carapa. C’est une huile qui est immensément riche. J’invite les gens à venir découvrir mes produits made in Burkina. C’est un arbre qui pousse ici au Burkina Faso. Nos grands-parents l’utilisaient depuis belle lurette et nous, nous sommes venus pour améliorer leur savoir-faire et mieux faire connaître l’huile de carapa procera.

Coulibaly Rodrigue, pyrograveur

Je dessine sur les calebasses, les contre-plaqués et les bois. Quand j’ai su que la SNC arrivait à grands pas, j’ai décidé de concevoir quelques produits pour les vendre à la foire. Je profite de l’occasion pour dépeindre la situation peu enviable des artistes. Nous sommes vraiment « moisis ». Nous survivons. L’épidémie du coronavirus n’a pas arrangé les choses. Nos compatriotes africains ne nous encouragent pas en achetant nos œuvres. Et pourtant, nous voulons vivre de notre art. S’ils ne nous encouragent pas, nous ne pouvons pas avancer. Le domaine de l’art n’est pas facile. Nous espérons qu’avec cette édition de la SNC, les choses vont changer à notre faveur. Nous croisons les doigts pour gagner un peu d’argent pour nous occuper de nos familles.
Doli Yéli, couturière

Nous confectionnons des sacs à base de pagnes batik. Nous sommes à Ouezzin-Ville. En participant à la foire de la SNC, nous espérons faire de bonnes affaires avec environ 100 sacs fabriqués, des étoffes et des chemises et robes taillées sur mesure.
Fofana Claudine, vendeuse de produits divers

Je suis arrivée à Bobo hier vendredi et j’ai débuté l’exposition aujourd’hui 29 avril. C’est ma première fois de participer à cette foire. J’espère vendre mes produits que j’ai amenés ave moi. Ce sont entre autres des secrets de femmes, des habits, du savon, du thé.

✍️Marie Laurentine Bayala

 

Compte rendu du conseil des ministres du 28 avril 2023

0

Lire ou télécharger l’intégralité du conseil des ministres du 28 avril 2023 ici 👇👇👇👇

Chargeur En cours de chargement…
Logo EAD Cela prend trop de temps ?

Recharger Recharger le document
| Ouvert Ouvrir dans un nouvel onglet

Télécharger

Chargeur En cours de chargement…
Logo EAD Cela prend trop de temps ?

Recharger Recharger le document
| Ouvert Ouvrir dans un nouvel onglet

Télécharger