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Tchad : Un soldat tchadien tué par un militaire français

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Photo AFP
Photo AFP

Un soldat français de l’opération Barkhane aurait tué par balle, mardi 5 septembre 2023, un militaire tchadien à Faya-Largeau, relatent les médias tchadiens. L’incident s’est déroulé dans une base des forces françaises à Faya-Largeau, à 779 km de N’Djamena dans la région du Borkou au nord du Tchad.

Le soldat tchadien venu pour des soins à l’infirmerie de la base de l’armée française aurait agressé un infirmier militaire de Barkhane par 3 coups de scalpel. Ce dernier aurait fait usage de son arme à feu tuant le soldat tchadien.

L’incident a été confirmé à l’AFP par le général Ali Maïde Kebir, gouverneur de la région du Borkou dont Faya-Largeau est le chef-lieu. « Un militaire tchadien, qui n’était pas dans un état normal, s’est rendu pour un pansement dans la base militaire de l’armée française, a pris un scalpel et a blessé un infirmier militaire français », a déclaré à l’AFP le général Ali Maïde Kebir.

La nouvelle du décès du soldat tchadien s’est répandue dans la ville, provoquant l’indignation de la population de Faya et des manifestations devant la base militaire française, selon le média lepaystchad.com.

Une enquête conjointe des armées tchadienne et française est en cours afin de faire la lumière sur les circonstances du drame.

✍️Aboubakar Sanfo

Source : AFP, lepaystchad.com

JT de 13h du 05 septembre 2023

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https://youtu.be/u9rS7gx2ytE

Fonds de soutien patriotique : plus de 34 milliards de F CFA mobilisés au 31 août 2023

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Le Fonds de soutien patriotique (FSP) connait une évolution positive. Au 31 août 2023, le montant des ressources mobilisées au profit du FSP est de dont encaissés et en attente d’encaissement sur le compte FSP.

Le montant de 4 000 226 597 représente les prélèvements effectués sur les produits importés, les services prépayés des téléphonies mobiles et de Canal + Burkina.

L’annonce a été faite au cours de la troisième session ordinaire du Conseil d’orientation du FSP, qui s’est tenue, le 04 septembre 2023, à Ouagadougou, sous la présidence de SEM le Premier ministre, Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambela, président dudit conseil. Il a examiné et adopté le troisième rapport de gestion du FSP et statué sur l’affectation des ressources aux bénéficiaires que sont les Volontaires pour la défense de la Patrie.

Le Conseil d’orientation a salué l’élan de solidarité et de patriotisme des Burkinabè de l’intérieur et de la diaspora, qui a permis de mobiliser plus de 34 milliards de FCFA sur un objectif de 100 milliards. Il appelle les Burkinabè à se mobiliser davantage autour du FSP afin de contribuer à la libération de la nation.

DCRP/MEFP

JT de 20H du 4 septembre 2023

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Burkina : Le CAPES lance le débat sur la souveraineté monétaire et politique des pays de la CEDEAO

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Le Centre d’analyse des politiques économiques et sociales (CAPES), à travers une conférence internationale présidée par le Premier ministre, Me Apollinaire Joachimson Kyelem de Tambèla, a lancé, lundi à Ouagadougou, le débat sur la souveraineté monétaire et politique des pays de la CEDEAO en lien avec la nouvelle monnaie ECO, censée entré en vigueur en 2027, en remplacement du FCFA.

L’objectif général de cette conférence publique internationale est de participer à la réflexion sur la souveraineté monétaire et à l’indépendance politique des pays de la CEDEAO.

Elle est placée sous le thème : «Souveraineté politique et monétaire dans l’espace CEDEAO : Faut-il poursuivre la transition du FCFA à l’ECO ? ».

«La conférence internationale de ce jour s’inscrit dans l’élan de nourrir avec courage, peu importe le prix à payer, le débat dans un cadre scientifique, loin des arguments populistes, avec méthodes et minuties. Il entre dans le cadre des débats de l’intelligence économique du CAPES», a déclaré le directeur exécutif du CAPES, Dr Victor Sanou.

Selon lui, le contexte actuel de « nos pays » a inspiré le CAPES dans le choix de ce thème. « En effet, au Mali, au Burkina Faso, au Niger et en Guinée, après l’accession aux affaires de régimes militaires adoubés par leurs peuples, l’instance communautaire qu’est la CEDEAO, est montée au créneau pour leur infliger des sanctions », a-t-il regretté.

Pour lui, ces sanctions passent pour l’essentiel par le canal économique et monétaire.

« Face à la souffrance des populations et sachant que nos Etats sont engagés dans un processus devant les conduire à l’horizon 2027 à l’adoption de l’ECO comme nouvelle monnaie communautaire, il est apparu de bon ton pour le CAPES de s’interroger si la dynamique enclenchée est la bonne. Faut-il encore aller vers une monnaie qui envoie déjà des signaux d’être la même que le CFA ?», s’est-il interrogé.

D’autant plus que, selon lui, cette future monnaie (ECO) a été pensée dans le but de permettre aux différents Etats de continuer les échanges avec les partenaires traditionnels, ceux dits occidentaux.

«Mais depuis, il y a eu du changement dans la direction des partenariats pour certains pays », a souligné le directeur exécutif du CAPES, Dr Victor Sanou.

« Avec le contexte sécuritaire sous-régionale, des pays comme le Mali et Burkina Faso ont décidé de mettre fin à la relation « cheval cavalier » en regardant désormais vers des partenaires appartenant aux BRICS», a-t-il insisté.

Pour lui, cette nouvelle orientation n’est pas du goût de tous et pourrait être le vrai motif derrière ces sanctions. « Tout cela vient justifier la nécessité d’une réflexion prospective sur la pertinence de continuer le processus vers l’ECO dans le cadre de la CEDEAO», a-t-il fait savoir.

Il a par ailleurs affirmé que des débats qui se mèneront, ils élaboreront des synthèses sous forme d’orientations stratégiques utiles, en tenant compte du contexte pour une exploitation.

Cette conférence internationale a connu la participation d’éminents enseignants chercheurs et économistes comme Pr Léon Sampana, Pr Idrissa Ouédraogo, Pr Kako Nubukpo et Pr Mamadou Koulibaly.

✍️Agence d’information du Burkina

Prix de l’excellence scolaire 2023 : les rêves de Saloua Kinda, la 1ère au CEP

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Les ministères en charge de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur ont organisé la Journée de l’excellence scolaire le 31 août 2023 à Ouagadougou. Plus de 160 lauréats, parmi lesquels Saloua Kinda, ont reçu leurs prix lors de la cérémonie placée sous le thème « L’excellence dans l’éducation pour promouvoir une société burkinabè de paix et de résilience face aux défis sécuritaires et humanitaires ».

Ce sont particulièrement des élèves et enseignants comblés qui ont reçu leurs prix des mains du Directeur de cabinet de la Présidence, représentant le Président de la Transition.

« Je suis très contente. Je suis fière de mon travail. Ces prix me permettront de poursuivre mes études pour un avenir meilleur », confie Saloua Kinda. Elle est la 1ère nationale au CEP avec la moyenne de 9,56/10. Cette place, elle le partage avec Abdoul Samad Tapsoba qui est 1er exæquo avec la même moyenne.

Saloua Kinda et Abdoul Samad Tapsoba, les 1ers au CEP 2023 avec 9,56/10

De l’avis de Saloua, c’est son abnégation au travail et la confiance en soi qui lui valent ces lauriers aujourd’hui. « J’aime le travail bien fait », déclare-t-elle avec un grand sourire.

Saloua Kinda a 12 ans. Elle vient de l’Ecole Privée Emile Decaestecker A, de Tougan, qui a fait 100% d’admis au CEP avec les 46 candidats présentés à la session 2023. Elle avoue que l’année scolaire a été difficile, du fait de l’insécurité. « Mais on s’adapte », lance-t-elle dans un esprit de résilience.

Face aux difficultés, Saloua conseille aux autres élèves de rester calmes. « Je vais dire aux autres de rester toujours calme, quelque soit la difficulté et d’essayer encore de faire mieux. Parce que là, ce n’est pas la fin, il y a encore des épreuves et des obstacles qui nous attendent devant. Donc, j’essaye de dire aux autres d’avoir la résilience et d’être toujours prompt au travail et régulier », explique-t-elle aisément.

C’est d’ailleurs le propos du Ministre en charge de l’Education nationale, Joseph André Ouédraogo. Le Ministre livrant le discours du Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim Traoré a en effet dit aux acteurs de l’éduction que « la recherche de l’excellence ne doit pas être délaissée au motif que nous sommes éprouvés par le terrorisme ».

Saloua Kinda, la championne nationale au CEP 2023 rêve de devenir magistrate « J’aime leur façon de parler et leur raisonnement », confie-t-elle.

✍️ Aboubakar Sanfo

 

Les critères de sélection des meilleurs élèves pour le Prix de l’excellence scolaire

La Commission nationale de sélection des lauréats du Prix de l’Excellence de l’Education nationale sélectionne les meilleurs élèves sur la base des critères suivants :

  • être régulièrement inscrit dans un établissement d’enseignement primaire, post primaire et secondaire public ou privé ;
  • au CEP : être parmi les 10 meilleurs au niveau national et avoir 13 ans au plus au 31 décembre 2023 ;
  • au BEPC : être parmi les 10 meilleurs au niveau national, avoir 18 ans au plus au 31 décembre 2023 et avoir une moyenne au moins égale à 16/20 ;
  • au baccalauréat général et technologique : être parmi les 05 meilleurs de sa série, avoir au moins 14/20 de moyenne et avoir 21 ans au plus au 31 décembre 2023 ;
  • aux CAP commerciaux et industriels : être parmi les 05 premiers toutes spécialités confondues, avoir une moyenne de 16/20 au moins et être âgé de 19 ans au plus au 31 décembre 2023 ;
  • aux BEP commerciaux et industriels : être parmi les 05 premiers toutes spécialités confondues, avoir au moins 15/20 de moyenne et être âgé de 21 ans  au plus au 31 décembre 2023 ;
  • aux Baccalauréats professionnels : être parmi les deux premiers de sa spécialité, avoir au moins 14/20 de moyenne et être âgé de 23 ans au plus au 31 décembre 2023.

Sur la base de ces critères, la commission a retenu 101 lauréats dont 32 filles.

 

Prix de l’excellence scolaire 2023 : voilà les critères pour sélectionner les meilleurs enseignants

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Le comité national d’organisation du Prix de l’Excellence de l’Education nationale a dévoilé les critères de sélection des lauréats enseignants le 31 août 2023 lors de la cérémonie de remise des prix de l’édition 2023. La grille pour départager les meilleurs enseignants est composée de 5 critères transversaux.

La Commission nationale de sélection des lauréats du Prix de l’Excellence de l’Education nationale travaille sur la base de la grille qui est utilisée lors des travaux de sélection des candidats au prix des enseignants de l’Union africaine. Elle intègre les critères de l’Union africaine et les éléments pédagogiques, didactiques et environnementaux adaptés au Burkina Faso, selon le Comité d’organisation.

La grille prend en compte les deux 2 ordres d’enseignement (primaire, post-primaire/secondaire).

5 critères transversaux ont été retenus pour la sélection des meilleur enseignant du primaire, du post-primaire et secondaire, selon le Vice-président de la Commission nationale de sélection des lauréats du Prix de l’Excellence de l’Education nationale, Evariste-Marie GUIBRE. Ces critères sont :

1 Les qualités professionnelles ;

2 Les performances professionnelles ;

3 La qualité de la collaboration avec les pairs ;

4 La réputation positive liée à l’engagement professionnel ;

5 La contribution à la défense de la paix et de la citoyenneté responsable.

Les 5 critères sont interdépendants et s’appliquent à chaque candidat de manière équitable selon les ordres d’enseignement, selon le Vice-président de la Commission.

Il ajoute que la méthodologie de sélection a consisté au niveau régional, à retenir une seule candidature au moyen de la grille de sélection et en vérifiant la sincérité et l’authenticité des pièces constitutives du dossier.

Aboubakar Sanfo